Les Ackermann au UCI KOS Grèce

Les Ackermann ont participé au UCI KOS Grèce et ont réalisé d’excellentes performance en plus d’y avoir surtout pris un grand plaisir. Selon Janet, la semaine a été heureuse.

Course contre la montre vendredi 13

“Départ de la Marina parcours de 20,65 km long de la mer, Je m’étais bien échauffé et tout de suite le me suis senti bien, je tournais vite les jambes 95 à 100 tours par minute, j’essayais de garder un effort de haute intensité et constant. Les premiers 6.8 km étaient plats et, après 4 km, je dépassais un premier concurrent qui était parti 1 minute avant moi! Dès la grimpée, j’ai accentué l’effort sur environ 1.2 km et une descente permettait ensuite de récupérer jusqu’au “point de retour”. Malheureusement, celui-ci n’était pas clairement indiqué et la personne chargée de guider les cyclistes n’était pas à son poste: j’ai fais environ 100 mètres avant qu’il ne siffle pour m’indiquer de retourner! Au retour, je m’applique afin de garder une cadence élevée. Ainsi, je dépasse quelques dames parties plusieurs minutes avant-moi et à 3 km de l’arrivée, je dépasse encore deux concurrents, partis respectivement 2 et 3 minutes avant moi. Au moment de tourner pour pénétrer dans la Marina, je dois freiner car une fille que je dépasse manque son virage et m’empêche de la dépasser! Je termine au sprint sur les 100 derniers mètres! C’était une bonne course mais il reste quelques imperfections à améliorer pour les championnats du monde à Varèse fin août.

Course en ligne Dimanche 15

“Nous partons toutes catégories confondues à 9h de la Marina. Nous traversons Kos sous conduite. Nous sommes un peloton d’environs 200 coureurs Je suis bien concentré pour éviter les chutes et essaie de rester au milieu du peloton pour ne pas subir les accélérations et ne pas prendre trop de vent. Je me sens bien, j’avais bien récupéré de vendredi. Les premiers 40 km sont relativement plats et le peloton est presque complet, bien que l’allure soit assez élevée (38-40 km/h). Dès la première montée, les hostilités commencent! Une première sélection s’opère et nous ne sommes plus qu’une trentaine dé coureurs en tête. Je n’aperçois plus mes concurrents. Dans la longue descente qui suit, certains coureurs arrivent à renter. Nous nous dirigeons vers la montagne, la route s’élève et est assez raide , entre 10 et 12%! Le peloton s’étire et je n’essaie pas à suivre les premiers, car je sais que le plus dur reste à faire en direction du sommet. Je rejoins ppuis dépasse la première femme. Je suis seul dans la descente. En arrivant en bas, un groupe de cinq coureurs me rattrape que je lâche dès la montée vers Zia. Là, je ne vois plus mes concurrents. La Traversée de Zia s’effectue en montée avec approximativement 1 km de pavés. Arrivé au sommet, nous redescendons en direction de l’arrivée. Nous avions déjà effectué 67 km et nous devions encore faire une boucle de 21 km avec une montée vers Zia. J’en profite pour me ravitailler et j’ai encore beaucoup d’énergie. Je roule vite sur le plat et je rattrape un groupe de coureurs. Je prends la plupart des relais et dés la montée, je m’échappe. Dans celle-ci, je rattrape encore 2 autres coureurs. Certes, en arrivant au somment, j’aperçois la première femme qui arrive avec le coureur que j’avais dépassé. Je temporise alors un peu et nous roulons environs 4 km à trois en nous relayant. Dans la descente, la fille n’arrive pas suivre et nous roulons à deux. Mais il devait encore une faire une boucle de 21 km, les coureurs de 19 à 64 ans devant effectuer 114 km au total. Je lui dis que je termine et j’accélère. Je suis le premier coureur à franchir la ligne d’arrivée!